Ce roman fait entendre la voix de deux amies, Alice et Cécile, séparées depuis cinq ans. Une plongée dans le passé et les années Mitterrand, la fin de l'enfance et la complexité des sentiments.
Tamouna s'apprête à fêter ses 90 ans entourée de ses enfants, de ses petites-filles, et de Tamaz son amour de jeunesse. Elle se souvient de cette année de 1918, où elle a quitté avec sa famille la Géorgie pour la France, pour fuir les bolchéviques. Elle s'est alors retrouvée coupée de ses racines, de son pays natal et de Tamaz.
En prenant pour matière la mémoire de sa famille, l'auteure raconte la vie de son ancêtre Joseph Davrichewy, né vers la fin du XIXe siècle à Gori, en Géorgie. Le roman dépeint le temps de son enfance, au sein d'une communauté archaïque où il se lie d'une amitié profonde avec Joseph Djougachvili, dit Staline, et surnommé Sosso, qui l'accompagne jusqu'à l'âge adulte.
En prenant pour matière la mémoire de sa famille, l'auteure raconte la vie de son ancêtre Joseph Davrichewy, né vers la fin du XIXe siècle à Gori, en Géorgie. Le roman dépeint le temps de son enfance, au sein d'une communauté archaïque où il se lie d'une amitié profonde avec Joseph Djougachvili, dit Staline, et surnommé Sosso, qui l'accompagne jusqu'à l'âge adulte.
Joseph Djougachvili, dit Staline, est né à Gori en 1878. Quelques années plus tard, à quelques rues de là, naissait un autre Joseph : le grand père de l'auteur ! Prix des Deux Magots 2017.